• Nany, j'ai un projet...

    Je me sentais libérée d'un poids, cette vie dont je rêvais tant allais enfin pouvoir commencer et ceux dès aujourd'hui.

    J'avais passé l'après-midi d'hier à faire jouer mes relations et à envoyer les photos de mon shooting pour annoncer le scoop dans toutes la presse et à travers le monde. En rentrant après ma journée de dingue, j'avais appelé Oliver et Fumiko pour prendre de leurs nouvelles et leur raconter mon entretien avec mon oncle.

    Ce midi j'avais retrouvé Fumiko au restaurant comme convenue la veille. Je dois lui parler de mon projet de revente du château dans lequel elle vit encore actuellement. J'ai bon espoir qu'elle me soutienne dans ce que j'entreprends.

    Nous nous sommes rendus à l'Eco-Bistro, j'y suis maintenant une habituée. Une fois installée Fumiko lança la conversation.

    Fumiko : Je suis ravie que tu es pu parler à ton oncle !

    Moi : Oui je me sens pousser des ailes. Je suis très étonnée qu'il est accepté mes conditions d'ailleurs. Dis-je en observant le menu.

    Fumiko : Tu sais au fond c'est un homme bien. Alors qu'elle est la prochaine étape ma belle ?

    Moi : Justement c'est pour ça que je voulais te voir. J'aimerais faire appel à un architecte pour me créer un nid douillet. Mais pour ça j'ai besoin de financement et j'ai pensé revendre le château de mes parents.

    La serveuse nous interrompis et pris nos commandes.

    Moi : Se sera tout, merci ! Et j'aimerais te proposer de vivre dans ce nouveau nid douillet. J'envisage d'y faire une belle chambre pour toi avec salle de bain. Tu es comme ma grand-mère pour moi et j'aimerais vraiment t'avoir près de ma famille et de moi.

    Fumiko : Ma chérie, se projet à l'air de te tenir à cœur. Je comprends que ta petite maison ne te suffise plus. Ce serait avec plaisir que je viendrais vivre chez toi.

    Moi : Bien sûr je compte te rémunérer pour toutes l'aide que tu m'apporteras, j'aimerais avoir un immense potager pour manger bio toute l'année.

    Fumiko : Le jardinage c'est ma passion chérie ! Mais rémunération je refuse. Laisse ton oncle continuer de me verser un salaire tous les mois, il a bien assez d'argent.

    Moi : Si tu les dis ! Nany, je voulais aussi te dire que je comptais proposer à Oliver de s'installer avec moi.

    Le repas nous fut servit, un verre de rouge à la main nous continuions notre conversation jusqu'à ce que je reparte travailler sur mes couvertures. Les choses avançaient, l'essentiel était fait ! Je devais maintenant revoir Oliver...


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